aderfp633
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Posté le: Jeu Sep 26, 2013 4:30 pm Sujet du message: Les médias traditionnels demeurent la princ |
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Vos finances - Lorsque les médias sociaux se font conseillers financiers
Les médias traditionnels demeurent la principale source de renseignements et de conseils financiers. N’empêche, les réseaux sociaux s’imposent tout de même de plus en plus dans ce paysage, ouvrant plus grande encore la porte à la fraude et à la désinformation. Toutefois, sur la question de la fiabilité des sources, proches et amis font une plus piètre figure encore.Dernières en date, les données de 2012 demeurent d’actualité. Ces statistiques démontrent qu’un Canadien sur 20 a déjà été victime d’une fraude financière. Et que le quart des victimes se font escroquer plus d’une fois. La moitié de ces victimes ont rencontré le fraudeur par l’entremise d’une personne de confiance (ami, collègue de travail ou membre de la famille). Pas étonnant, donc,[url=http://woolrich-outlet-online.blogspot.com]Woolrich Outlet[/url], que les investisseurs en quête d’information financière perçoivent les ressources en ligne comme étant plus crédibles (38 %) que la famille et les amis (30 %).Le phénomène des réseaux sociaux comme source d’information reconnue est évidemment plus visible chez les plus jeunes. Selon un sondage du Groupe Investors réalisé en 2011, les jeunes de 18 à 29 ans posent un regard plus positif sur les réseaux sociaux populaires sur le Web puisque 30 % d’entre eux considèrent Facebook comme une source d’information utile, que 25 % ont la même opinion sur Twitter et que 72 % citent les blogues financiers comme sources d’information utiles.Médias traditionnelsMais dans l’ensemble, les conclusions d’un sondage réalisé pour BMO Ligne d’action et dévoilées cette semaine placent les médias traditionnels au premier rang des sources de renseignements et de conseils financiers privilégiées. Ainsi, 57 % des répondants ont affirmé qu’ils puisaient leur information dans les médias traditionnels, alors que seulement le tiers misent sur les médias sociaux. Dans l’ordre, les plateformes utilisées sont :nouvelles télévisées et reportages sur le monde des affaires (36 %) ;version papier des journaux et magazines (30 %) ;version en ligne des journaux et magazines (24 %) ;fournisseur de service d’investissement en ligne (22 %) ;communautés financières et forums en ligne (22 %) ;radio (12 %) ;Facebook (9 %) ;blogues (7 %) ;applications mobiles sur les placements (5 %) ;Twitter (4 %) ;LinkedIn (3 %).Lorsque la question de la fiabilité de ces sources est évoquée, le sondage de BMO révèle que les répondants disent se fier aux médias traditionnels à hauteur de 61 %, tandis qu’ils ne sont que 24 % à accorder leur confiance aux médias sociaux. Et selon les canaux :69 % se fient aux nouvelles télévisées et aux reportages sur le monde des affaires ;55 % jugent les versions en ligne des journaux et magazines fiables ;48 % estiment que la radio est une source fiable.À l’opposé :seulement 21 % des répondants considèrent les blogues comme une source fiable de renseignements sur les placements ;moins de 20 % jugent LinkedIn fiable ;13 % considèrent Facebook comme une source légitime de points de vue sur l’investissement ;12 % seulement soutiennent que Twitter est une source d’information fiable en matière de placement.Terrain fertile pour les fraudeursL’Autorité des marchés financiers en a rajouté. L’organisme d’encadrement et de réglementation des produits et services financiers soulignait l’an dernier que les réseaux sociaux peuvent s’avérer un terrain fertile pour les fraudeurs. Ils permettent de rejoindre à faible coût un grand nombre de victimes potentielles, d’échanger avec des victimes potentielles sous le couvert de l’anonymat ou sous une fausse identité, de mener des opérations illégales de manipulation de marché en propageant de fausses rumeurs à propos de certains investissements pour en augmenter artificiellement la valeur et les revendre à profit, ou d’y publier des hyperliens qui dirigent les victimes sur de faux sites en apparence identiques à des sites légitimes, avait énuméré l’Autorité.Valeurs mobilièresUniquement dans l’univers des valeurs mobilières, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) mentionnaient dans leur rapport 2012 que 34 des 145 procédures engagées l’an dernier, soit 23 %, constituaient une fraude alléguée et visaient 113 intimés. Dans les causes terminées en 2012, les cas de fraude ont visé 66 intimés.Les autorités ont tenu à rappeler que « l’indice ACVM des investisseurs 2012 révèle que près de 30 % des Canadiens croient avoir été la cible de fraude au cours de leur vie. Toutefois, seuls 29 % d’entre eux ont signalé les tentatives de fraude aux autorités ».Outre la fraude, les procédures engagées en 2012 portaient sur des placements illégaux (37 %) et sur des manquements commis par des personnes inscrites (14 %). S’ajoutent les délits d’initiés (quatre cas), les contraventions aux obligations d’information (dix cas) et les manipulations de marché (six cas).BMO Ligne d’action a précisé que ces résultats proviennent d’un sondage de Pollara effectué en ligne auprès de 1020 Canadiens âgés de 18 ans et plus. Un échantillon probabiliste de cette taille comporterait une marge d’erreur de plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20. _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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