aderfp633
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Posté le: Lun Sep 30, 2013 5:50 pm Sujet du message: BMW Z4 - Belle mais chère |
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BMW Z4 - Belle mais chère
Les roadsters germaniques ont commencé à proliférer à la fin des années 90. Vous savez ce que c’est avec Audi, BMW et Mercedes : s’il y en a un qui fait quelque chose,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], les deux autres singent. Et il faut désormais ajouter Porsche,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], qui ne contente plus de fabriquer uniquement des sportives et empiète à son tour sur le terrain des trois autres. Bref, la concurrence est vive, c’est le moins qu’on puisse dire. Revenons aux roadsters : BMW a lancé les hostilités avec la Z3, en 1996. Porsche et Mercedes ont immédiatement répliqué avec leurs Boxster et SLK, puis Audi avec sa TT.Mue à l’origine par un timide 4-cylindres, la Z3 n’avait pas non plus la rigueur qu’on attend d’une « Béhème » sur la route. Le châssis semblait avoir été réglé pour la promenade ; chez Mercedes, passe encore ; mais pas chez BMW ! Avec la Z4, c’était déjà mieux. Beaucoup mieux, en fait. Le modèle actuel datant de 2010, il a subi quelques modifications au cours des deux dernières années, histoire de le maintenir à niveau avec la concurrence.Belle partoutLes allemandes ont de la prestance, mais manquent souvent de grâce, d’élégance. La Z4 est l’exception qui confirme la règle. Elle n’est pas seulement belle, elle est aussi sensuelle. Elle a fait l’objet d’un restylage, l’année dernière,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], mais il s’agissait de modifications cosmétiques mineures, et de toute façon, elle vieillit en beauté. Elle est encore plus sexy depuis qu’elle a un toit rigide, mais ce dernier gruge beaucoup d’espace dans le coffre lorsqu’on roule à ciel ouvert, comme c’est souvent le cas avec les coupés cabriolets.À l’intérieur, on est en terrain connu. Ça ressemble beaucoup au modèle précédent, et comme toujours chez BMW, la qualité de construction est exemplaire. En revanche, il y a un peu plus de fantaisie que dans les habitacles épurés et froids des autres « Béhèmes ». La présentation intérieure est attrayante, avec son habillage bicolore et ses appliques d’aluminium brossé ou de bois laqué (au choix).Pas de flafla pour le tableau de bord : c’est l’efficacité qui prime, avec une nacelle dans laquelle logent deux gros cadrans, soit l’indicateur de vitesse et le tableau de bord. L’essentiel, quoi. Les commandes sont d’une rare simplicité (pour une BMW, s’entend) et faciles d’accès. Même si nous sommes à bord d’une voiture sport, l’aspect pratique n’a pas été oublié. Il y a de nombreux espaces de rangement : en plus des habituels vide-poches dans les portières et du coffre à gants,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], il y a deux autres compartiments dans la console et entre les deux sièges - nous sommes dans une biplace, ne l’oublions pas.Parlons-en, des sièges : très confortables, ils sont fermes et bien enveloppants, avec un bon support latéral et lombaire. La position de conduite est par ailleurs irréprochable. Évidemment, vous êtes assis au ras du sol, mais ceci est une voiture sport, pas un VUS,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], bon sang ! Si c’est trop bas, peut-être que ce n’est pas pour vous. S’il faut vraiment chercher des poux, je mentionnerais les coutures de la sellerie cuir recouvrant le tableau de bord qui se reflètent dans le pare-brise, en plein dans le champ de vision. Notez que c’est un problème qui ne se pose que si on roule sans toit. Celui-ci a d’ailleurs passé le test de l’étanchéité haut la main : je n’ai pas reçu une goutte dans le lave-auto à pression.Un bon moteur et un vrai moteurLe menu comprend deux motorisations,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], à 4 et 6 cylindres, toutes deux suralimentées par un turbocompresseur. Trois boîtes de vitesses sont également offertes. Maintenant, suivez attentivement, car c’est ici que ça se complique. Le 4-cylindres peut être jumelé à une boîte manuelle à 6 rapports ou une boîte automatique à 8 rapports. Le 6-cylindres, lui, s’accouple à la même boîte manuelle ou à une boîte automatique à double embrayage DKG à 7 rapports. De plus, le 6-cylindres se décline en deux saveurs : piquante (300 chevaux) et extrapiquante (335 chevaux), cette dernière étant réservée à la version sDrive 35is. Vous suivez toujours ?Le 4-cylindres de 2 litres n’est pas manchot (241 chevaux),[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], mais il brille d’abord et avant tout par sa consommation, qui se compare à celle d’une petite voiture à vocation économique. Moins de 9 litres au 100 kilomètres de moyenne, voilà qui n’est pas banal pour une sportive. Il est vrai que ce moteur bénéficie d’une technologie de pointe avec l’injection directe et le dispositif arrêt-démarrage, qui coupe le moteur lorsque la voiture s’immobilise. La boîte à 8 rapports dont était muni l’un de nos véhicules d’essai a aussi à voir avec cette frugalité. Le mode Sport lui donne par ailleurs un peu de tonus : il répond plus rapidement. Voilà pour les rationnels.Sauf que… Dans une voiture sport, j’aime entendre un moteur qui parle, qui chante, qui grogne, aussi… Un moteur qui s’exprime,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], quoi ! Les performances du 4-cylindres sont satisfaisantes, il n’y a rien à redire, mais ce moteur manque singulièrement de caractère. Dans une berline, il est tout à fait à sa place,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], mais pas dans un roadster aux prétentions sportives.Mauvais casting, comme on dit à Paris.Le 6-cylindres, c’est la vraie affaire dans ce type de voiture. Lui,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], au moins, il ne caquette pas comme un petit poulet. Il ronronne, son grondement sourd annonce la couleur et il répond instantanément dès qu’on effleure l’accélérateur. Le couple attend son maximum très tôt, à 1400 tours-minute, et il reste au max jusqu’à 5000 tours. Là, on jase ! Et si ses 300 chevaux ne vous suffisent pas, vous en aurez 35 de plus si vous optez pour la version 35is. Ai-je besoin d’ajouter que les 6-cylindres de BMW font partie de la crème des moteurs de l’industrie automobile ? Ils sont raffinés, véloces et consomment raisonnablement, tout en affichant un solide tempérament. Chaque fois, je ressens le même bonheur.Dans l’ombre de la starBMW est synonyme de prestations routières de haut niveau. La Z4 a quelques atouts en main : son format compact, son empattement court, ses roues motrices arrière et la répartition de son poids (47 % à l’avant, 53 % à l’arrière) génèrent de grandes attentes. Je suis pourtant resté sur mon appétit. Oh, elle fait tout bien, la petite : agile, elle enfile les virages avec aisance, et si on opte pour le mode Sport, l’amortissement se durcit et le roulis est éliminé. Le train avant manque cependant de rigueur : la Z4 pèche par sa propension au sous-virage, mais l’antipatinage permet de corriger le tir. Le train arrière, en revanche, reste imperturbable et la motricité ne fait jamais défaut.En fait, le plus gros problème de la Z4, c’est la Boxster, championne incontestée de la catégorie des roadsters sportifs (excusez le pléonasme). Bien que douée, elle n’inspire pas la même confiance. Il faut dire que la Porsche, avec son moteur central et son parfait équilibre des masses, place la barre très haut en matière de tenue de route. La Z4 n’est pas incompétente, tant s’en faut ; elle est juste éclipsée par une rivale surdouée.ConclusionDans le trio de roadsters allemands, la Z4 propose un bon compromis. Moins efficace que la Boxster en conduite sportive, elle distille plus de plaisir que la placide Mercedes SLK. Elle souffre cependant du même mal que ses compatriotes, soit une liste d’options interminable qui fait exploser l’addition. Pour une 35is tout équipée, incluant le groupe d’options M, on dépasse allègrement la barre des 75 000 dollars, ce qui est indécent pour un petit roadster, fût-il affublé du logo BMW.Collaborateur _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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