aderfp633
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Posté le: Lun Sep 30, 2013 6:00 pm Sujet du message: Québec a épuisé ses r&e |
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Le Devoir,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url]
Québec a épuisé ses réserves de patience et entend désormais se charger de la décontamination du site d’entreposage illégal de BPC opéré par l’entreprise Reliance à Pointe-Claire. L’État québécois pourrait aussi hériter de la facture.Le ministre du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, Yves-François Blanchet, a signifié mardi matin que la compagnie ne s’est pas conformée à plusieurs mesures exigées par l’ordonnance signifiée par le gouvernement le 29 août dernier.Des inspections effectuées au cours de la fin de semaine ont en effet permis de déterminer que l’entreprise n’a pas respecté la première étape imposée par l’ordonnance concernant l’aménagement sécuritaire du site. L’entreprise avait jusqu’au 13 septembre pour s’y conformer.«Les premières étapes de sécurisation étaient à la fois simples et assez urgentes à réaliser, a rappelé le ministre Blanchet. Pourtant, Reliance a failli à ses obligations aux termes de la première échéance. Donc,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], comme je l’avais dit, nous prenons immédiatement en charge les opérations sur le site afin de le rendre sécuritaire et de disposer adéquatement des matières dangereuses qui s’y trouvent. L’environnement et la sécurité doivent être pris au sérieux.»Déjà, des entreprises sont mandatées pour amorcer les travaux de sécurisation du site. Les travaux visant à réparer la clôture débuteront et des mesures de sécurité additionnelles seront mises en place afin d’éviter toute intrusion sur le site.La facture aux Québécois?Reliance devra rembourser l’ensemble des coûts des travaux assumés par le gouvernement, a aussi précisé le ministre. « La capacité financière de l’entreprise pourrait être en cause, a-t-il toutefois reconnu. Nous avons donc également initié une procédure visant à prendre une hypothèque légale sur les actifs de l’entreprise. Si les Québécois se voient imposer une partie de ce fardeau, elle sera la moins importante possible. »En fait,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], il est bien possible que les Québécois héritent de la facture,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], qui devrait se chiffrer en millions de dollars. L’entreprise Reliance, qui entrepose de vieux transformateurs et de l’équipement lourd sur le sol,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], n’aurait pas les moyens financiers pour assumer les coûts du nettoyage selon les informations obtenues par le réseau CTV.Toute cette histoire a débuté à la fin du mois de mars. L’ouverture d’une valve d’un réservoir aurait entraîné le déversement d’au moins un millier de litres d’eaux huileuses contaminées aux BPC. Cette pollution a rapidement migré, atteignant même le lac Saint-Louis. Des substances cancérigènes réputées très persistantes se sont donc retrouvées dans le Saint-Laurent, et ce, en amont de nombreuses prises d’eau de municipalités de la région de Montréal. Même le réseau d’égouts de Pointe-Claire a été touché.La Ville a d’ailleurs immédiatement prévenu le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP). Selon ce qu’ont constaté des fonctionnaires du ministère dépêchés sur les terrains de Reliance, l’entreprise tentait déjà de contenir le déversement. La firme Environnement Rive-Nord, chargée d’effectuer les travaux,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], a finalement récupéré « environ 200 000 litres d’eaux huileuses » contaminées aux BPC, selon ce qu’on peut lire dans un document du MDDEFP. Au moins cinq conteneurs ont aussi été remplis de sols contaminés.Silence de QuébecLe ministère de l’Environnement n’a jamais alerté la population de l’existence de ce site, même si Québec était au fait de la situation depuis des mois. Il a fallu que l’affaire soit diffusée par le Journal de Montréal pour que le public soit informé.Le ministre Blanchet a défendu sa décision de garder le silence. « Nous avions convenu, le ministère et la Santé publique,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], qu’il n’y avait pas lieu d’aviser les citoyens environnants parce qu’il n’y avait pas de niveau de risque immédiat », a-t-il dit. « Le site n’est pas plus dangereux aujourd’hui qu’il ne l’était il y a deux jours ou il y a deux semaines », a-t-il également affirmé.Un chimiste mandaté par son ministère a pourtant écrit,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], dans un rapport officiel datant de juin dernier,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], que le site situé à Pointe-Claire présentait des risques bien réels. Luc Rivard a ainsi souligné que « ce site a été et demeure susceptible d’être une source de contaminants persistants et toxiques, dont les conséquences sur la qualité de l’environnement et les risques à la santé humaine sont significatifs ». Il a évoqué une « forte contamination en BPC sur le site », ainsi que l’état de « délabrement » des lieux, la « vétusté » des installations et la « dégradation apparente des équipements ». _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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