aderfp633
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 Posté le: Lun Sep 30, 2013 9:15 pm Sujet du message: comme celui quon se met dans la tte ou qui fait |
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Le Devoir
Plomb, comme celui qu’on se met dans la tête ou qui fait « péter les plombs ». La nouvelle pièce de Virginie Brunelle fouille tous ces petits deuils - filial, amoureux,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], professionnel - qui plombent l’existence.En peu de temps, Virginie Brunelle s’est démarquée par sa danse d’une élégance brute dépeignant la déchéance amoureuse. Après les trio et duo, Foutrement et Complexe des genres, qui distordaient la danse sur pointes et écorchaient le couple au passage, l’Agora de la danse l’invite à se frotter à la création de grand groupe - neuf interprètes. Même si sa première pièce Les cuisses à l’écart du coeur comptait sept danseurs,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], elle y voit un défi de taille qu’elle embrasse avec autant d’aplomb que de nervosité.« C’est déstabilisant, confie-t-elle. C’est juste deux [danseurs] de plus,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], mais c’est très différent à cause des idées que je voulais développer. Mais j’avais envie d’être déstabilisée. »Elle a donc saisi l’occasion pour réunir une diversité d’interprètes, dont un comédien, des danseurs avec qui elle travaille depuis ses débuts (Isabelle Arcand,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], Claudine Hébert, Simon-Xavier Lefebvre, Luc Bouchard-Boissonneault) d’autres « nouveaux » (Karina Champoux, Nicolas Patry) et des plus vieux pour recréer une « microsociété », comme elle le dit.Sortie des classes en 2007,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], Virginie Brunelle a connu un baptême public remarqué, parrainé par Dave St-Pierre. Si sa première pièce portait clairement l’irrévérence de son mentor, sa signature s’est affinée dans les pièces suivantes. Leur souffle et leur cohérence, à un stade si précoce de sa carrière, ne peuvent que forcer l’admiration. Même si leur propos tourne beaucoup autour du même pot.Avec Plomb, elle tente d’ailleurs de s’écarter de sa thématique fétiche : l’échec amoureux. « J’ai voulu élargir à d’autres deuils : l’amour inconditionnel, la maladie, la déchéance professionnelle,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], dit-elle. Ça parle de perte, du passage entre vie et mort,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], déni et résilience,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], peur et le lâcher-prise. »Si elle a plus travaillé les scènes d’ensemble, elle revient toujours au duo - « j’adore travailler le partenariat » -, essayant ici de dépasser la seule image du couple. Des danseuses au bagage immense, Sophie Corriveau et Anne Le Beau, y feront notamment tandem pour aborder la maladie.Assumer ses idéesLa carte blanche offerte par l’Agora de la danse est également l’occasion d’assumer la théâtralité avec laquelle ses idées prennent forme. « Je pars souvent de petites histoires [venues aussi des danseurs] pour nourrir le mouvement », dit-elle. Un filon dramatique qu’elle a creusé avec le comédien Francis La Haye, sans toutefois laisser le texte prendre le pas.La chorégraphe dit avoir emprunté certains « cadrages » et ambiances au cinéma de David Lynch, de Wim Wenders, à la peinture expressionniste allemande. Mais que reste-t-il de toutes ces références dans l’oeuvre scénique ? Au public de trancher, dit la chorégraphe qui, à une semaine de la première, a « le nez trop collé dessus »…
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People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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