aderfp633
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Posté le: Lun Sep 30, 2013 9:25 pm Sujet du message: Les entrepreneurs en construction sont vulné |
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Le Devoir
Les entrepreneurs en construction sont vulnérables et démunis par rapport aux attaques du crime organisé contre leurs intérêts,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], a relaté l’homme d’affaires Jocelyn Anctil,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], mardi à la commission Charbonneau.M. Anctil a été pris en grippe par feu Raymond Coulombe, qui aurait tenté de prendre le contrôle de la vente de ponceaux en Estrie en incendiant les commerces de ses concurrents. Décédé en janvier dernier, M. Coulombe était la cible principale de l’opération « Hégémonie ».M. Anctil est un entrepreneur prospère de l’Estrie. Ses quincailleries Rona et ses usines de matériaux pour la construction et l’assainissement des eaux emploient environ 600 personnes à Magog, Sherbrooke,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], Granby et Saint-Denis-de-Brompton. Des incendiaires ont mis le feu à ses commerces à cinq reprises en l’espace de quelques mois,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], entre mars 2009 et décembre 2010.Le premier sinistre, en mars 2009, a causé les dommages les plus importants. L’usine de maisons préfabriquées de M. Anctil, Maison Orford, a été complètement détruite, occasionnant des pertes de 350 000 $. Selon le témoignage de Jocelyn Anctil,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], des pompiers volontaires auraient mis le feu à son entreprise.Dans les attentats subséquents, les stocks de ponceaux de M. Anctil attiraient particulièrement les pyromanes. Des concurrents lui ont murmuré à l’oreille que Raymond Coulombe, propriétaire des Ponceaux de l’Estrie, n’appréciait pas sa présence sur le marché de Magog.Lourdes pertesAu total, M. Anctil a subi des pertes évaluées entre 800 000 $ et 900 000 $, sans compter le stress et les nuits d’insomnie.Les tactiques d’intimidation ont porté leurs fruits. M. Anctil a pensé à abandonner le commerce de ponceaux,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], une activité qui ne représentait que 2 % de son chiffre d’affaires. « On ne voulait pas mettre toute notre entreprise en péril pour des ponceaux », a-t-il dit.Par mesure de précaution, il a cessé de prendre part aux appels d’offres qui intéressaient l’entreprise de Raymond Coulombe. « J’ai laissé aller 457 000 $ de ventes »,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], a dit M. Anctil.La vague d’incendies criminels aurait pu avoir des conséquences encore plus dramatiques pour M. Anctil. Au printemps 2010, son assureur menaçait de ne plus le couvrir. Or, sa banque et ses partenaires d’affaires exigeaient qu’il maintienne une police d’assurance valide comme condition préalable à la poursuite de leurs relations.In extremis, il a pu renouveler sa couverture d’assurances pour un an… avec une majoration de 25 % de sa prime habituelle. À cette époque, le cauchemar tirait à sa fin. Un enquêteur privé embauché par M. Anctil avait retrouvé la trace des incendiaires. Lorsqu’il a transmis ces informations aux enquêteurs de la Sûreté du Québec (SQ), ils ont mis les bouchées doubles pour élucider ces crimes.Pistes de solutionLa juge France Charbonneau a félicité M. Anctil pour son courage. Le témoin a proposé des pistes de solution originales pour protéger les entreprises visées par le crime organisé. Il a suggéré l’adoption d’une loi qui interdirait aux assureurs de résilier la police d’assurance d’une entreprise victime d’intimidation et d’actes criminels, au moins pour la durée d’une enquête policière.Il a aussi proposé la création d’une ligne d’urgence afin que les entrepreneurs lésés puissent parler rapidement à des enquêteurs spécialisés,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], et la mise sur pied d’un fonds d’aide psychologique, financière et juridique.Les audiences ont repris par la suite sous le couvert d’une ordonnance de non-publication. Deux enquêteurs de la Sûreté du Québec (SQ), Simon Riverain et Richard Ayotte, ont fait le compte-rendu de l’opération « Écrevisse », au cours de laquelle un réseau de trafiquants de drogue évoluant sous les ordres des Hells Angels a été démantelé en Abitibi. _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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