aderfp633
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Posté le: Lun Sep 30, 2013 10:58 pm Sujet du message: Vos placements - Quand épuiser son capital devien |
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Vos placements - Quand épuiser son capital devient la solution
Dans votre article du Devoir du 4 mai 2013 concernant les retraits obligatoires du FRV (Fonds de revenus viagers),[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], votre intervenant se plaignait de l’impossibilité pour le bénéficiaire de retirer éventuellement la totalité de l’argent accumulé .Le bénéficiaire d’un FERR (Fonds enregistré de revenus de retraite) qui avance en âge verra au contraire son capital dans le régime fondre à cause de la gourmandise du gouvernement. À partir de l’âge de 94 ans, il faut retirer 20 % de la valeur du FERR. Avec les rendements actuels, c’est là un stress pour les personnes âgées, qui verront fondre leur FERR à vue d’oeil.Pourquoi les gouvernements sont-ils si gourmands envers les détenteurs d’un FERR pour collecter du vivant du retraité les impôts dus alors qu’ils font preuve de patience pour récupérer, à un taux réduit, les impôts sur les gains en capital non réalisés uniquement au moment du décès d’un contribuable, retraité ou non retraité ?J.M.P.Dans votre article « Un budget serré malgré un avoir de plus de 800 000 $ », j’aurais aimé faire parvenir l’avant-dernier paragraphe au courtier de ma mère de 91 ans. Elle a de petits placements dont il est responsable pour un total d’à peine 100 000 $. Elle vit en ce moment dans un logement qui lui coûte environ 1500 $ par mois, mais sa condition l’amène maintenant à déménager dans un foyer recommandé qui lui coûtera environ 25 500 $ par année tout compris. Avec un revenu de 26 500 $ après impôt cette année, comparativement aux bonnes années où ses placements l’amenaient jusqu’à 30 000 $, vous comprendrez que je sois à l’affût de toute possibilité pour elle.C. D.Plus on avance en âge, plus les probabilités sont fortes que nous devions puiser dans notre capital pour prétendre à un niveau de vie convenable. Et le capital accumulé dans le REER est celui que J.M.P., l’intervenant de la première lettre,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], devrait épuiser en premier lieu lorsque la chose devient inévitable. La principale raison : à son décès, le FERR est automatiquement dé-enregistré. La valeur de celui-ci s’ajoutera donc à ses autres revenus réalisés dans l’année de son décès pour être imposée à son taux marginal d’impôt. Si les sommes accumulées dans le REER sont de 100 000 $ ou plus,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], les chances sont que ledit capital de son régime soit charcuté de près de 40 %, peut-être davantage, avant d’être remis à ses héritiers.En fin de compte, le REER et son prolongement, le FERR, ont été d’abord conçus pour procurer un soutien aux revenus réguliers du retraité. À ce titre, j’estime que nos gouvernements sont justes, surtout qu’ils auront permis de reporter les impôts dus jusqu’à très tard durant la retraite. Que le retrait minimum exigé du FERR à l’âge de 94 ans passe à 20 % de la valeur du régime en début d’année est correct. Avec un tel taux de retrait, il est cependant clair que, pour la plupart d’entre nous, nous n’aurons d’autre choix que d’épuiser en partie le capital accumulé dans le régime. Sauf si le rendement annuel des placements s’élève à 20 % ou plus, ce qui serait plutôt difficile à réaliser sur une base soutenue à moyen terme.Quant au second intervenant, C. D., encore là nous sommes devant un cas où une personne (sa mère) devra envisager l’épuisement graduel de son capital. Cette femme de 91 ans, en perte d’autonomie, a dû déménager dans un centre d’hébergement pour soins de longue durée dont le loyer est beaucoup plus élevé, soit 25 500 $ par année. Or, à cause des faibles taux d’intérêt, elle ne récolte plus que des revenus annuels totaux de 26 500 $, contre 30 000 $ lors des bonnes années. Autrement dit, la totalité de ses revenus sera consacrée au paiement de son loyer.Il faut dire ici que le loyer des centres d’hébergement pour soins de longue durée comprend presque tout : nourriture, chambre, buanderie et soins de santé, dont les médicaments. Reste le téléphone et le service de télédistribution, la lingerie et quelques sorties (si cela est encore possible) à payer par le bénéficiaire. Pour les extras que madame voudra bien s’accorder, elle pourrait très bien les payer à même son capital sans trop de problèmes. Quant à savoir si elle devrait investir ses liquidités dans des placements accordant un rendement plus élevé, comme les actions de grandes sociétés canadiennes, j’ai mes réserves là-dessus. Dans ce cas précis, ni la dame ni son fils ne semblent bien connaître la Bourse. Ils doivent s’en remettre à un conseiller sans véritablement être en mesure de porter un jugement sur les recommandations que fera ce dernier.Par ailleurs, à l’âge vénérable de 91 ans,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], ce n’est plus vraiment le temps d’amorcer la construction d’un portefeuille d’actions qui sont à la base des placements à long terme.Enfin,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], je tiens à souligner à C. D. que le loyer pour une chambre en centre d’hébergement pour soins de longue durée entre dans les frais médicaux. Le loyer versé se traduira donc pour sa mère par d’importants crédits d’impôt.Achat direct d’obligations ou fonds communs d’obligations?Vous recommandez pour la partie du portefeuille en obligations d’acheter les obligations de Placements Québec. Or,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], comme je réside au Nouveau-Brunswick, je n’y ai pas accès et je me résous à choisir des fonds communs d’obligations, mais sans pouvoir vraiment juger des meilleurs achats à faire.Auriez-vous des suggestions pour ma situation ?P. G.Shediac, N.-B.Effectivement, les produits d’épargne de Placements Québec ne sont disponibles que pour les résidants de la Belle Province. Il vous reste toutefois cette possibilité de placer votre argent dans les certificats de dépôt, les dépôts à terme,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], les unités de fonds communs d’obligations et d’obligations achetées directement.Les deux dernières options sont celles que vous devriez retenir. Et, entre les deux, celle que vous choisirez dépendra de vos anticipations quant à la tendance future des taux d’intérêt. Si vous êtes de ceux qui pensent que les forces déflationnistes l’emporteront sur celles inflationnistes, alors les fonds communs d’obligations devraient donner des rendements acceptables. Ces fonds se composent généralement d’obligations aux échéances assez longues, souvent de sept ans ou plus. Et, étant en quête de rendements, leurs gestionnaires ne limiteront pas leurs achats aux seules obligations de très haute qualité. Ils accorderont une place importante dans leur portefeuille aux titres de créance émis par les entreprises. Ces titres peuvent être des obligations (on les nomme débentures) et les actions privilégiées,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], dont certaines peuvent être convertibles en actions ordinaires de l’émetteur. Avec les fonds communs d’investissement, vous profitez donc d’une gestion assez élaborée pour les titres à revenus fixes.Par contre, si vous estimez que la tendance future des taux d’intérêt sera nettement à la hausse, alors je vous suggère d’acheter directement les obligations par l’entremise d’un courtier escompteur. Ce faisant,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], vous limiterez vos achats d’obligations à celles émises par les provinces et les municipalités (le marché québécois des obligations municipales est le plus actif au pays) dont l’échéance se situe entre trois et cinq ans. Et, dans la mesure du possible, essayez de participer aux nouvelles émissions, question d’acheter les obligations légèrement sous leur valeur au pair de 100 $. En agissant de la sorte, vous posséderez un portefeuille d’obligations hautement défensif. C’est-à-dire que votre capital pourra être entièrement récupéré aux échéances (sans pertes de valeur) pour être réinvesti dans de nouvelles obligations aux rendements plus élevés (si bien entendu les taux d’intérêt ont augmenté tel qu’anticipé durant la période).Et si vous ne savez pas sur quel pied danser entre déflation ou inflation,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], alors répartissez vos liquidités à parts égales entre les fonds communs d’obligations et l’achat direct d’obligations de trois à cinq ans.cchiasson@proplacement.qc.caClasse Internet _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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