Stages
Liens
Club
Tournoi
Forum
Accueil

Espace
Membres


INSCRIPTION


 Index du Forum -> Jeu du reglement -> moncler on sale


Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
aderfp633



Inscrit le: 27 Sep 2011
Messages: 7915
Localisation: England

MessagePosté le: Mar Oct 01, 2013 2:05 am    Sujet du message: moncler on sale Répondre en citant

Le Devoir,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url]
Admettant finalement qu'on en sait trop peu sur les impacts de l'exploitation du gaz de schiste,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], Québec lancera une évaluation écologique stratégique afin de mieux évaluer les risques imputables à cette filière énergétique. Cette recommandation constitue d'ailleurs le cœur du rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) rendu public hier et n'est rien de moins que «la suite logique des choses», selon le ministre Pierre Arcand. Mais pas question de décréter un moratoire.«La réalisation d'une évaluation environnementale stratégique (EES) devient un passage obligé tant dans un processus de prise de décision éclairée que pour la recherche d'une meilleure acceptabilité sur le plan social», insistent les commissaires du BAPE dans leur rapport de plus de 300 pages intitulé Développement durable de l'industrie des gaz de schiste au Québec.Ceux-ci rappellent ainsi que, pour certaines questions fondamentales, les réponses sont demeurées «partielles ou inexistantes» durant les audiences menées l'automne dernier. Les auteurs du document estiment donc qu'«une base solide de connaissances techniques et scientifiques est à construire sur la ressource, notamment en matière de géologie, d'hydrogéologie, de traitement des eaux usées, d'aménagement du territoire ou de cohabitation avec la population». Ils constatent aussi «l'absence de faits probants permettant de déterminer les risques» liés à l'exploitation de cette source d'énergie fossile. Cette EES,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], jugent enfin les commissaires,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], devrait fournir «les outils essentiels» pour encadrer l'industrie. Visiblement, il ne s'agit pas de tourner le dos à cette filière.Le ministre du Développement durable,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], de l'Environnement et des Parcs n'a pas tardé à faire sienne cette recommandation du BAPE. Il a annoncé hier que le gouvernement formerait d'ici le printemps prochain un comité composé de représentants d'organismes gouvernementaux, municipaux, universitaires et d'entreprises privées qui devra statuer sur les modalités de l'évaluation.Aucun moratoire ne sera décrété durant cette période, qui pourrait s'étendre sur environ deux ans. Mais les entreprises qui voudraient procéder à une fracturation hydraulique devront le faire dans le cadre de l'EES,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], et ce, dans le but de fournir de l'information scientifique. Les gazières pourront cependant poursuivre leurs activités dans les puits où il y a déjà eu une fracturation hydraulique. Dix-huit des trente et un puits forés au Québec ont déjà été fracturés. Les entreprises pourront en outre réaliser d'autres travaux d'exploration, comme des relevés sismiques ou des forages. L'EES pourrait également nécessiter de nouveaux forages,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], mais ceux-ci seront «extrêmement limités», a assuré M. Arcand. L'échéancier que se fixera le gouvernement ne devrait pas contrecarrer les plans de l'industrie, qui ne prévoyait pas le démarrage de l'exploitation à grande échelle avant 2015. Qui plus est, certains projets d'exploration ont déjà été retardés, alors que les prix du gaz demeurent très bas. Trop bas, en fait, pour que ce soit intéressant de faire venir au Québec de la machinerie et de la main-d'oeuvre pour forer un ou deux puits.Fait à noter, la proposition des commissaires qu'a retenue Québec est très semblable à ce qu'a suggéré tout récemment le nouveau président de l'Association pétrolière et gazière du Québec, Lucien Bouchard. «Je crois qu'on devrait convenir d'un programme limité où on travaille surtout sur les puits déjà forés. On va apprendre des choses pour réduire les risques et se donner des normes», avait-il proposé sur les ondes de RDI.Mais est-ce que le gouvernement serait prêt à mettre un frein permanent à l'exploitation du gaz de schiste si l'EES concluait que les risques écologiques sont trop importants, comme ce fut le cas pour l'évaluation menée pour l'estuaire du Saint-Laurent? Oui, a répondu M. Arcand. «Nous ne ferons aucun compromis», a-t-il répété à plusieurs reprises.Reste que le ton très rassurant du ministre contraste avec ce qui prévalait il y a moins d'un an, alors que le gouvernement Charest ne comptait absolument pas recourir au BAPE pour évaluer les risques liés à l'exploitation du gaz de schiste, et ce, même si cette industrie s'active déjà depuis quelques années au Québec sans un encadrement législatif conçu spécifiquement à cette fin. Et encore au moins d'août, la ministre Nathalie Normandeau disait vouloir déposer un projet de loi sur les hydrocarbures au cours de la session parlementaire de l'automne 2010. Tout cela alors que les inquiétudes augmentaient au sein de la population, qui ignorait trois mois plus tôt que les basses terres du Saint-Laurent renfermaient d'immenses réserves de gaz.ConsultationsHier, le ministre responsable des dossiers écologiques a plutôt salué le travail du BAPE en précisant que le gouvernement acceptait «la plupart» des «avis» formulés par les commissaires. Ainsi, Pierre Arcand a assuré que,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], à l'avenir, les nouveaux projets gaziers feraient l'objet de consultations publiques inspirées des façons de faire du BAPE. Cela devrait permettre d'en «faciliter l'acceptabilité sociale», selon lui. Il a toutefois refusé de dire si les municipalités allaient avoir un droit de veto sur un projet.«Les MRC et les municipalités des régions concernées devraient être impliquées dans la planification du développement de l'industrie du gaz de shale sur leur territoire. Une approche participative et concertée devrait être adoptée pour que le développement de cette industrie soit harmonisé avec les spécificités territoriales de chaque milieu», note lui aussi le BAPE. Par le passé,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], certaines entreprises ont réalisé des travaux sans même prévenir les municipalités touchées.Le ministre Arcand a également annoncé qu'il proposera une entente-cadre pour guider les négociations entre les entreprises et les propriétaires des terrains qui seront forés.Il faudra par ailleurs voir si Québec se rendra à l'avis des commissaires lorsqu'ils soutiennent que l'émission des permis d'exploration devrait être l'affaire du ministère de l'Environnement. La façon de faire actuelle «ne favorise pas la surveillance et le contrôle intégrés des activités», déplorent-ils.Leur rapport note d'ailleurs de nombreuses interrogations quant aux risques écologiques liés à cette filière. «La vulnérabilité des aquifères à une contamination potentielle provenant du sous-sol occasionnée par l'exploration et l'exploitation du gaz de shale devrait être établie par des études scientifiques», écrivent-ils notamment. Et, puisque cette industrie utilise d'énormes quantités d'eau,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], il faudrait impérativement prendre en considération «les effets cumulatifs» de l'exploitation dans les plans directeurs de l'eau.Le ministre a voulu répondre à certaines lacunes mises en évidence par le BAPE en annonçant qu'il pourrait restreindre l'usage de certains produits chimiques utilisés lors de la fracturation du roc, en plus de bonifier les inspections en mettant l'accent sur les migrations de gaz.Sans surprise, les commissaires ont souligné que le Québec devrait augmenter les redevances sur la ressource, de façon à en tirer des revenus «substantiels», mais sans rien préciser. Ils réclament aussi une «une analyse économique» qui servirait à «proposer une façon de récupérer le plus rapidement possible le manque à gagner en raison des faibles montants des droits qui ont été exigés lors de l'attribution initiale des droits d'exploration». M. Arcand a refusé de dire si le gouvernement allait revoir le prix des permis d'exploration, qui se situent actuellement à 10 ¢ l'hectare.Selon l'industrie, de 150 à 600 puits pourraient être forés chaque année en période d'exploitation. Mais le BAPE souligne que ce rythme «pourrait être dépassé advenant des conditions favorables de développement», à l'instar de ce qui s'est vu au Texas et en Pennsylvanie. Au total, on pourrait donc devoir raccorder pas moins de 20 000 puits au réseau de Gaz Métro. Le sous-sol des basses terres du Saint-Laurent contiendrait de 9000 à 40 000 milliards de pieds cubes de gaz de schiste.Pour télécharger le document complet (plus de 300 pages)
_________________
People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    www.badminton-web.fr Index du Forum -> Jeu du reglement
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum





Contactez-nous !


Recopiez le mot badminton ici :

Votre nom (ou Pseudo) :
 

Votre adresse mail :
 

Votre message :
 

 



A propos de ce site...


Badminton-web est développé et maintenu par www.agence404.com, 1 rue Suffren à Nantes (RCS Nantes B 498 013 432).
Il est hébergé par Celeonet.

L'ensemble du présent site : rédactionnel, éléments graphiques, ergonomie générale et tout autre composante, est déposé et protégé par un copyright. Aucune copie n'est autorisée a priori.

Les demandes d'échanges sont toutefois bienvenues. Pour ce faire, utilisez le formulaire ci à gauche.




Qui sommes-nous ?


Khazâd, c'est mon pseudo, et je suis votre interlocuteur principal sur Badminton-web.fr. Passionné de web, je suis entouré par une fine équipe de collaborateurs tous aussi passionnés que moi.

Lydia, rédactrice on-line, transforme nos contributions "sms" en vrai bon français.
GG est le roi du forum, qu'il anime,
Fred est aux p'tits soins pour les bad-conseils,
Badidonk est notre partenaire qui alimente l'agenda du Badminton,
Patrice, Julien et l'équipe de +2bad vous proposent régulièrement leurs articles.

Et puis vous, chers lecteurs, qui contribuez chacun à votre mesure à la richesse, à la pertinence et à la convivialité qui fait l'âme de ce site qui est le vôtre !