aderfp633
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 Posté le: Mar Oct 01, 2013 3:03 am Sujet du message: Hormis Pierre Bernard et Frédéric Bl |
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Le Devoir
Hormis Pierre Bernard et Frédéric Blanchette, bien peu de metteurs en scène québécois se sont intéressés au théâtre de l’États-Unien David Ives. Il faut dire que la matière, multipliant les ruptures de ton, obligeant à une grande maîtrise rythmique,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], n’est pas des plus rassurantes. C’est pourquoi nous commencerons par reconnaître à Michel Poirier le mérite d’oser monter, et de surcroît sous une bannière plutôt conservatrice, La Vénus au vison, un captivant face-à-face où la vérité est bel et bien comme Camus la décrivait,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], « mystérieuse,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], fuyante,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], toujours à conquérir ».La pièce, créée à New York en 2010 et dont la version cinématographique signée Roman Polanski a été présentée à Cannes l’été dernier, remet en question de manière fort ingénieuse les rapports de pouvoir entre les hommes et les femmes, dans la sphère intime aussi bien que publique, mais aussi, plus spécifiquement, dans la pratique théâtrale. Patrice Robitaille est Thomas, auteur et éventuellement metteur en scène d’une adaptation de La Vénus à la fourrure, sulfureux roman de l’Autrichien Leopold Sacher-Masoch paru en 1870. Hélène Bourgeois-Leclerc est Vanda,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], une comédienne prête à tout,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], vraiment tout, pour obtenir le rôle principal.La réalité dans la fictionAu roman,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], lui-même basé sur une mise en abyme, la pièce fait très habilement écho. Cultivant le mystère, semant de troublantes ambiguïtés, l’auteur enchâsse le théâtre dans le théâtre, la réalité dans la fiction, la vérité dans le mensonge. En se glissant dans la peau des personnages de Sacher-Masoch, Thomas et Vanda se révèlent toujours plus, dévoilent leurs motivations profondes, les pulsions qui les animent réellement. Qui est cet homme ? Pourquoi est-il à ce point obnubilé par le rapport maître-esclave ? Qui est cette femme ? Est-elle vraiment comédienne ou profite-t-elle de cette audition pour lutter à sa manière contre la domination masculine ?Sous nos yeux, le théâtre se mue en un fascinant psychodrame, les masques tombent, les rôles se renversent de façon implacable. Juxtaposant les époques, les conventions sociales et les langues, la pièce de David Ives est tout simplement brillante, et, précisons-le, soigneusement traduite par Maryse Warda. On ne peut malheureusement pas en dire autant de la mise en scène de Michel Poirier, souvent illustrative,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], parfois même caricaturale, soulignant ce que l’auteur suggère déjà avec un tel doigté. Heureusement, les deux comédiens font malgré cela bonne figure.Alors que Patrice Robitaille est convaincant dans la peau du tout-puissant metteur en scène perdant graduellement le contrôle de la situation,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], c’est sans contredit Hélène Bourgeois-Leclerc qui domine la représentation. Peu présente au théâtre, plutôt associée au genre comique, la comédienne démontre ici l’étendue de son talent. De la vulgarité à la distinction,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], de la stupidité crasse à l’intelligence la plus vive, de la caresse à la cravache, elle incarne les moindres nuances d’un diabolique stratagème. Elle vaut à elle seule le détour.
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People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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