aderfp633
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 Posté le: Mar Oct 01, 2013 3:22 am Sujet du message: moncler sale |
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Bond,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], drôle d’oiseau
Il y a quelques années, j’avais acheté en Guadeloupe le livre Oiseaux des Antilles, histoire d’identifier en particulier diverses espèces de colibris, délicats visiteurs des corolles locales. Ce guide était signé James Bond. Tiens donc ! Homonymie avec l’agent 007 ? Ou imitateur juché sur la renommée du célèbre espion pour mieux convertir le public aux joies de l’ornithologie ?On se trompe parfois. L’autre jour, à Toronto, de passage au Bell Lightbox pour voir l’exposition Designing 007 : Fifty Years of Bond Style, en cours jusqu’au 20 janvier - l’agent secret britannique tombeur de ces dames célèbre, comme on le sait, ses 50 ans d’existence à l’écran -, réponse fut apportée à mes questions. Inauguré à Londres, ce parcours s’offre depuis fin octobre une première escale à Toronto. « Direction suivante : Shanghai », m’explique la directrice des expositions du lieu, Laurel Macmillan.La première salle est consacrée à Ian Fleming, créateur du mythe, en romans et en nouvelles. Cet ex-agent de la British Naval Intelligence Division, puis globe-trotter dirigeant les informations étrangères chez Kemsley Newspaper,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], plongea dans ses expériences pour enfanter en 1952 les premières aventures de 007, dûment baptisé James Bond. « Je ne voulais pas un nom trop romantique, expliquait-il en entrevue vidéo, mais plat. » Ayant lu le livre A Field Guide to the Birds of West Indies de l’Américain James Bond, il s’était emparé du nom de l’ornithologue sans daigner le consulter. Et voilà !Comme quoi l’usurpateur n’est pas toujours celui auquel on pense. En retour d’ascenseur,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], dans les films Octopussy en 1983 et Die Another Day en 2002, l’agent James Bond lit A Field Guide to the Birds of West Indies. Le vrai porteur du nom a d’ailleurs fini par rencontrer Fleming à son domaine jamaïcain de Goldeneye, en 1964, quelques mois avant la mort de ce dernier. Heureux fut l’oiseau qui capta leurs confidences.Pour la petite histoire, précisons que Ian Fleming écrivait chaque roman de James Bond en huit semaines. Excellente moyenne au bâton pour de pareils best-sellers, dont la renommée s’accrut au grand écran, bien entendu. Vingt-trois films, donc,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], bons, pas bons, de Docteur No en 1962 au récent et spectaculaire Skyfall, la moitié tirée des écrits de Fleming, l’autre moitié reprenant son style. Car l’homme est mort à 56 ans, 14 ans après la naissance littéraire de James Bond, et il faut bien alimenter la machine à histoires et à gros sous.L’expo,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], donc : « La plus ambitieuse sur James Bond jamais conçue, m’explique Laurel Macmillan,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], avec des objets appartenant à Eon Productions, la société britannique derrière tous les films de la série. »Clou de l’affaire : les magnifiques dessins et maquettes de sir Ken Adam,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], Juif allemand né en 1921 d’un officier de cavalerie prussien réfugié avec sa famille en Angleterre dès l’accession au pouvoir de Hitler. Adam, désormais nonagénaire, un des meilleurs directeurs artistiques du cinéma, participa à sept James Bond (Dr. No,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], Goldfinger, The Spy Who Loved Me, etc.). Collaborateur d’élection aussi des films de Kubrick, il fut oscarisé pour son travail dans Barry Lindon. Et quel coup de crayon !Le style BondJ’en aurais pris davantage, de cette expo, croyant son parcours plus vaste (400 artefacts, tout de même). Hélas ! aucun des six interprètes de l’as des espions britanniques ne témoigne en capsule vidéo. Faut dire que certains acteurs s’étaient lassés d’un rôle dont ils se sentaient prisonniers. Sean Connery et Pierce Brosnan s’en plaignaient bien haut, avant de lâcher le filon. Mais on trouve des éléments très chouettes,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], pour la joie des aficionados. Car il existe bel et bien un style Bond, qui fit florès après que le premier réalisateur du lot, Terence Young, eut offert au personnage son tailleur personnel. La garde-robe du héros et des James Bond Girls se déploie ici (même le bikini d’Ursula Andress dans Dr. No). Une salle recrée un casino, antre de l’élégance, du crime et du vice, où les belles dames douces ou redoutables ensorcellent le héros en smoking autour du tapis vert.L’expo, bien sûr, y va d’extraits de films liés à chaque thème et d’armes et de gadgets toujours avant-gardistes. Car qui, avant James Bond, utilisa un téléphone cellulaire dans son auto ? Personne. La Golden Girl jouée par Shirley Eaton dans Goldfinger (un des sommets bondiens) a sa réplique grandeur nature, peinte en or et déjà trépassée.Mon favori : ce local dédié à Ian Fleming, avec la vieille machine à écrire Royal qui servit à pondre mille péripéties, et les couvertures originales des romans adaptés. Trônent aussi des photos de Fleming et de son épouse Anne Geraldine Mary Charteris, femme élégante et érudite. Celle-ci, après avoir épousé un baron et un vicomte, convola en justes noces avec Fleming, qu’elle fréquentait depuis des lustres. Tous ces gens-là eurent des vies aussi trépidantes que James Bond, en définitive.À travers eux, l’agent secret donna à ses lecteurs la piqûre des destinations exotiques, d’où le parcours muséal du Japon de We Only Live Twice, du Saint-Pétersbourg de Goldeneye, du Vietnam de Tomorrow Never Dies. Dans l’antre des vilains, Javier Bardem, inoubliable crapule efféminée de Skyfall, manque à l’appel, mais pas mon second méchant préféré : Richard Kiel, en immonde Jaws aux dents d’acier de The Spy Who Loved Me et de Moonraker. Une de ses dents métalliques scintille dans sa boîte.L’expo donne envie de revoir les vieux James Bond, mais le Bell Lightbox, qui les projette tous, faisait relâche de 007 à l’écran ce jour-là. Manque de pot ! J’ai dit « Merci ». C’est le TIFF Bell Lightbox qui m’avait invitée. Puis j’ai dégoté un DVD de Goldfinger pour assouvir ma soif, au retour à Montréal. Noël approchait. Encore plus aujourd’hui. Alors,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], entre trois coupes et deux indigestions, je conseille aux retardataires de filer au cinéma voir Skyfall, le meilleur et dernier des Bond. En leur souhaitant avec ça de joyeuses Fêtes, aux frénétiques aventures.***Cette chronique fait relâche durant une semaine. À bientôt !
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People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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