aderfp633
Inscrit le: 27 Sep 2011 Messages: 7915 Localisation: England
|
Posté le: Mar Oct 01, 2013 4:16 am Sujet du message: Commission Charbonneau: Joe Borselino a «peut-& |
|
|
Commission Charbonneau: Joe Borselino a «peut-être» parlé à Jocelyn Dupuis de contrats
Joe Borselino,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], président de Garnier Construction,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], a admis devant la Commission Charbonneau, lundi, qu'il lui est arrivé de parler avec son «ami» Jocelyn Dupuis, ancien directeur général de la FTQ-Construction, pour s'informer des projets auxquels l'une de ses entreprises aurait pu s'intéresser.Mais il s'est empressé de dire à la commission qu'il ne se rappelle plus lesquels et que, de toute façon, il s'informait vaguement, comme ça, auprès d'autres personnes aussi.Le président de cette entreprise de construction, qui a un chiffre d'affaires de 55 millions aujourd'hui, a commencé un laborieux témoignage devant la Commission Charbonneau,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], lundi après-midi.Se rafraîchir la mémoireSes réponses évasives ont poussé le procureur de la commission, Me Simon Tremblay, à l'inviter à se rafraîchir la mémoire, lundi soir, notamment quant à Jocelyn Dupuis et aux projets auxquels ses entreprises, comme Garnier et Opron, ont pu s'intéresser.«Demain matin (mardi), on va débuter avec ça. [Je vous invite] à vous rafraîchir la mémoire avec M. Dupuis et surtout sur les occasions d'affaires», lui a lancé Me Tremblay.Lors de son témoignage, il a notamment été longuement question d'un contrat de réfection d'une usine de Rio Tinto Alcan au Saguenay,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], en 2008, évalué à 40 millions.Me Tremblay sous-entendait,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], par ses questions, que M. Borselino s'était à l'époque informé auprès du dirigeant syndical pour savoir ce qu'il pouvait faire pour accroître ses chances d'y obtenir le contrat. Il lui a notamment suggéré que M. Dupuis aurait pu lui dire de s'associer avec une entreprise locale du Saguenay, par exemple, pour augmenter ses chances.«Je ne suis même pas au courant d'une rénovation d'usine», a-t-il lancé au procureur, avant d'ajouter: «si j'ai parlé avec Jocelyn, et d'une usine chez Rio Tinto, c'est juste pour voir si c'est possible d'y aller».L'ex-dirigeant d'Infrabec, Lino Zambito, a déjà dit sous serment devant la commission que Garnier Construction participait au stratagème de collusion mis en place par les entrepreneurs du secteur des égouts.La FTQ-Construction est la plus importante organisation syndicale du secteur de la construction depuis plusieurs années. M. Dupuis a dirigé l'organisation syndicale de 1997 à 2008. C'est le président de la FTQ, Michel Arsenault, qui lui avait demandé de quitter son poste, après que Radio-Canada eut levé le voile sur ses comptes de dépenses.Fait à noter, M. Borselino a refusé de rencontrer les enquêteurs de la commission avant sa comparution comme témoin. Il n'est toutefois pas le seul à avoir agi ainsi. Son témoignage se poursuivra mardi. Farinacci parle de Zampino Plus tôt en matinée, l'ex responsable des transactions immobilières à la Ville de Montréal, Joseph Farinacci, a dit que l’ex-président du comité exécutif, Frank Zampino, a court-circuité le processus normal pour la vente des terrains du secteur Marc-Aurèle Fortin, afin de favoriser le Groupe Petra Saint-Luc.Selon Joseph Farinacci, la vente des terrains situés à Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles a suivi une procédure des plus irrégulières. L’ex-directeur des stratégies et transactions immobilières de la Ville témoigne de son ras-le-bol depuis lundi matin à la commission Charbonneau.Acquis au coût de 7,7millions par la Ville, les terrains du secteur Marc-Aurèle Fortin ont été revendus 1,5million à Petra Saint-Luc, en 2006. Le groupe de Giuseppe Borsellino n’avait même pas présenté la meilleure offre d’achat.Trois entreprises avaient déposé une offre: Développements Iberville à 1,5million, Développements Allogio à 1,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url],3 million et le Groupe Petra Saint-Luc à 1million. Le comité de sélection a naturellement choisi de vendre à Développements Iberville afin de permettre à la Ville de tirer le maximum, dans les circonstances, de la vente de ces terrains de deux millions de pieds carrés (l’équivalent de 27 terrains de soccer).Mis au courant de la décision, Frank Zampino a exprimé son profond désaccord. L’ex président du comité exécutif, aujourd’hui accusé de fraude, a clairement indiqué à Joseph Farinacci que «c’était au tour de Petra de gagner» puisque la vente de l’immeuble appartenant à la Gazette,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], 2005, lui avait échappé.M.Farinacci a été tellement surpris qu’il lui a demandé de répéter trois fois. Il a protesté car il était impossible que le comité de sélection de revenir sur sa décision, a-t-il expliqué lors de son témoignage.M.Zampino a alors mobilisé le Service du contentieux de la Ville de Montréal pour qu’il produise deux avis juridiques, le premier écartant Iberville pour d’obscures raisons de non-conformité de l’offre d’achat, le second imposant au comité de sélection de reprendre l’analyse avec les deux firmes restantes. L’avis juridique a été sous traité au cabinet Dufresne Hébert Comeau, au sein duquel travaillait la fille du directeur général de l’arrondissement, Marisa Santamaria.Le deuxième comité de sélection a été formé de membres plus favorables aux visées de Frank Zampino, dont Pierre Santamaria, le directeur général de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles au moment des faits.Selon les journalistes de l'émission Enquête, les deux enfants de Pierre Santamaria ont pu acheter deux terrains du Groupe Petra Saint-Luc, pour un prix global inférieur de 200 000 $ par rapport à l’évaluation municipale.Le deuxième comité de sélection a repris l’exercice,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], sans toutefois utiliser une grille de pointage. Sans surprise, le Groupe Petra Saint-Luc a remporté la mise.M.Farinacci a du cran. Il a rencontré Frank Zampino en compagnie de son supérieur immédiat, Marc Tremblay, pour leur dire que le Groupe Petra Saint-Luc devait rehausser son offre de 500 000 $ pour qu’il accepte d’avaliser la transaction. Il a obtenu gain de cause. Accompagné de M.Tremblay, il s’est rendu aux bureaux de Petra Saint-Luc, à Saint-Léonard,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], pour récupérer le chèque de 1,5million des mains de Giuseppe Borsellino. Celui-ci lui a dit « tu mecoûtes cher ».M.Farinacci a finalement démissionné de son poste en 2007 parce qu’il était las de se faire contourner. À la Ville, la vente des terrains du secteur Marc-Aurèle Fortin a fait l’objet d’un rapport du Vérificateur général, Jacques Bergeron, et d’une enquête du Contrôleur général, Alain Bond. M.Bond a remis son rapport à l’Unité permanente anticorruption (UPAC).D'autres détails suivront. _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
|