aderfp633
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 Posté le: Mar Oct 01, 2013 8:34 am Sujet du message: moncler down jackets |
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Le Devoir,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url]
Les universités, les pôles technologiques et les grandes entreprises engendrent d’importants déplacements en automobile. Comment diminuer l’utilisation de la voiture autour de ces organisations ? C’est l’objectif des centres de gestion des déplacements, les CGD.« Nous faisons de la sensibilisation auprès de nos clients, mais le coeur de nos activités est un plan de gestion personnalisé de leurs déplacements », explique Anne Auclair, présidente de l’Association des centres de gestion des déplacements (ACGD), qui regroupe les huit centres de la province, et directrice du CGD de la région de Québec, Mobili-T.Organisme à but non lucratif, le CGD offre des services-conseils aux organisations qui désirent améliorer les déplacements de leur clientèle ou de leurs employés. Depuis 2001, environ 200 entreprises, organismes publics et universités ont fait appel à des CGD afin de repenser les déplacements qui entourent leurs activités.Le premier CGD du Québec a vu le jour à Montréal en 2001. Il est le fruit d’une initiative conjointe de l’Agence métropolitaine des transports et du ministère des Transports du Québec (MTQ). On trouve maintenant des CGD à Québec, Trois-Rivières, Saguenay, Sherbrooke et Gatineau.Marche à suivreLes clients qui font appel à un CGD reçoivent un diagnostic d’accessibilité de leur site. Comment les usagers s’y rendent-ils ? Y a-t-il des espaces pour les vélos, des douches et des casiers pour les cyclistes ? Les trottoirs environnants sont-ils sécuritaires pour les piétons ? On analyse aussi la provenance des usagers et on les sonde sur leurs habitudes de déplacement,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], les contraintes entravant l’utilisation d’un moyen de transport actif, etc.« Ce diagnostic nous permet de voir s’il y a un potentiel de changement autour de cette organisation,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], explique Anne Auclair. On peut ensuite suggérer des solutions, telles que des incitations au transport en commun ou la mise en place d’un système de covoiturage. »Une entreprise peut faire appel à un CGD lorsque ses stationnements sont saturés ou qu’elle planifie un déménagement de ses bureaux, afin de voir quel est le lieu le plus propice où s’établir. Pour plusieurs entreprises, la rétention de la main-d’oeuvre est un enjeu, dit Anne Auclair. « Les jeunes générations ne veulent pas s’acheter une voiture pour aller travailler, cela devient un critère dans leur choix d’un lieu de travail. Tandis que les universités, elles,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], cherchent à augmenter leur attractivité auprès des futurs étudiants, alors que beaucoup de campus en Amérique du Nord offrent un milieu de vie sans voiture. »D’une région à l’autre,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url],[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], les solutions mises de l’avant diffèrent. En milieu urbain, par exemple,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url], il est plus aisé de favoriser les moyens de transport actifs tels que la marche et le vélo, alors qu’en région on encouragera les employés à faire de l’autopartage (du type Communauto) ou du covoiturage. « Les campagnes de sensibilisation peuvent prendre plusieurs formes,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], explique Anne Auclair, mais elles sont mises de l’avant par l’organisation qui fait appel à nous et cela est habituellement bien reçu par les employés. Certains organisent des concours,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], offrent des rabais sur les transports en commun ou des récompenses pour un changement du mode de déplacement. »Impacts écologiques et économiquesSi on est tenté de croire qu’une meilleure gestion des déplacements vise d’abord et avant tout une réduction de l’empreinte écologique des activités d’une organisation, les clients des CGD espèrent aussi bénéficier d’avantages économiques issus de telles initiatives. Un nouveau stationnement, par exemple, est dispendieux. On favorisera donc les solutions qui permettent d’économiser, tout en demeurant accessibles pour la clientèle ou les employés.Les retombées d’une saine gestion des déplacements se remarquent aussi chez les employés. « C’est l’aspect de la santé qui intéresse le plus les gens, plus que l’aspect écologique, avance Anne Auclair. Il est d’ailleurs reconnu par les directions des ressources humaines que les moyens de transport actifs améliorent la santé et, par le fait même, la productivité des employés. Même l’utilisation du transport en commun est bénéfique pour la santé, si on compare à quelqu’un qui est pris chaque matin dans un bouchon de circulation. »Une analyse réalisée par SNC-Lavalin en 2011 pour le compte de l’ACGD a démontré que ces programmes de gestion des déplacements réduisent la dépendance à l’automobile de 5 % à 15 %, comme le rapporte Anne Auclair. On apprend également de cette analyse que, pour chaque dollar investi dans une initiative de ce type, les avantages économiques représentent 9,60 $ en coûts directs (carburant, stationnement) comme indirects (perte de temps due à la circulation, pollution).Un avenir incertainLes bénéfices d’une saine gestion des déplacements semblent évidents, mais l’avenir des CGD n’est peut-être pas assuré. « Notre plus grosse interrogation face à l’avenir porte sur le contenu de la future politique de transport durable du ministère des Transports du Québec »,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], dit Anne Auclair.Alors que les clients des CGD bénéficiaient d’une subvention du MTQ durant les premières années de leur existence, qui remboursait 50 % des coûts de la mise en place du plan de gestion, cette subvention a été coupée en 2011. Les CGD voient déjà les effets de la disparition de cette subvention, car les organisations qui cognent à sa porte sont moins nombreuses.Les plans de gestion des déplacements sont obligatoires en France au sein des organisations qui comptent plus de 100 employés. « Nous ne sommes pas encore là, mais il serait bien que la gestion des déplacements devienne une norme », conclut la présidente de l’ACGD.Collaboratrice
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