aderfp633
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Posté le: Mer Oct 02, 2013 1:58 am Sujet du message: Au cours des quatre dernières années |
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Vert, l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie
Au cours des quatre dernières années, l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a résolument pris un tournant de développement durable et vert. Depuis l’arrivée du nouveau maire François William Croteau et de son équipe,[url=http://www.michael-korshandbags-outlet.org]Michael Kors Handbags[/url], les saillies vertes,[url=http://www.michael-korshandbags-outlet.org]Michael Kors Outlet[/url], les jardins de rue et les ruelles vertes se sont multipliés, et l’aspect et l’esprit de l’arrondissement se transforment.Ruelles vertesParce que les citoyens ont répondu à l’appel en grand nombre, la quantité de ruelles vertes dans l’arrondissement a augmenté de façon exponentielle : de quatre en 2009, il y en a maintenant 49. L’expression « responsabilisation sociale » prend tout son sens ici, car les citoyens doivent se regrouper,[url=http://www.gayalem.com/blogs/posts/cheap400]LG Display CEO sees rosy future[/url], présenter un plan de verdissement, couper eux-mêmes le béton, entretenir les plantations, etc. L’appropriation du lieu public favorise aussi l’organisation d’événements communautaires, tels que des barbecues et des ventes de débarras.Les retombées, selon le maire, sont remarquables : les gens apprennent à se connaître, développent un esprit communautaire et les ruelles sont plus propres. Un réflexe de vigilance s’installe et un environnement social positif et paisible se crée. La métamorphose n’est pas totale ; des caissons fleuris ou des plates-bandes ont été aménagés le long de la ruelle ici et là et on y circule encore en voiture, mais les avantages sont importants, sur le plan social, comme sur ceux de la sécurité, de la propreté, du verdissement, de la gestion des eaux pluviales, etc.Quant aux jardins de rue - des jardins entre la maison et la rue, mais sur l’espace public -, quelques-uns embellissaient déjà certaines rues dans Rosemont. Mais depuis peu, l’arrondissement incite les citoyens à prendre possession de ce bout d’asphalte et les encourage en payant l’équipement pour l’enlever ; 10 tronçons de rue ont été ainsi verdis et fleuris, ou sont devenus des potagers. Également, toutes les réfections de rue intègrent maintenant automatiquement des jardins : une dizaine de tronçons ont ainsi été refaits.Saillies vertesL’objectif de la saillie verte est de ralentir la circulation afin de rendre le passage plus sécuritaire pour les piétons,[url=http://www.michael-korshandbags-outlet.org]Michael Kors Handbags Outlet[/url], en particulier les enfants et les personnes âgées. Mais ses conséquences n’en sont pas moins intéressantes car elle devient une zone de rétention des pluies, elle apporte de la fraîcheur et, on ne peut le nier, elle rend les coins de rue nettement plus jolis.Finalement, les nouveaux jardins de rue, les saillies vertes ainsi que les ruelles vertes rendent la vie dans l’arrondissement de plus en plus agréable, créent des îlots de fraîcheur, améliorent la qualité de l’air et favorisent la gestion des pluies qui sont, nous l’avons vu cet été, de plus en plus souvent diluviennes. À propos de ce dernier point, nous sommes loin d’un réseau structuré comme à Portland (Oregon), par exemple, mais ces mesures sont tout de même un pas dans la bonne direction.Plus de 2000 tonnes d’asphalte ont été enlevées depuis deux ans avec les différents projets du quartier. Une surface équivalente à six terrains de football a viré au vert. Un règlement adopté au cours des dernières années exige d’avoir ou de conserver au minimum 20 % d’espace vert pour les nouvelles constructions ou les rénovations.Le maireDynamique et engagé, le maire François William Croteau s’intéresse particulièrement à l’aménagement et à la gestion des espaces urbains dans une perspective de développement durable et de responsabilisation sociale. Un de ses objectifs est de déminéraliser le territoire de façon radicale et de le verdir, afin de diminuer les îlots de chaleur et de mieux gérer les eaux pluviales, mais également de créer des environnements agréables et sécuritaires favorisant la vie de quartier. Des villes modèles pour le maire ? Portland (Oregon), Seattle et Vancouver.Les Fermes MiracleQu’est-ce qu’un verger en permaculture ? Qu’est donc la permaculture ? De la culture permanente ? Pas exactement ! Rien de tel qu’un tour guidé par M. Sobkoviak, à son verger près d’Huntington, en Montérégie, pour s’initier aux principes de cette culture. Mais qui est Stefan Sobkoviak ? Titulaire d’un baccalauréat en aménagement de la faune et d’une maîtrise en biologie de la faune, il possède également une maîtrise en architecture du paysage. Depuis 20 ans, il exploite Les Fermes Miracle en permaculture. Excellent communicateur, il donne régulièrement des conférences sur le jardin comestible,[url=http://euceso.home.pl/forum/index.php?topic=1812069.msg2272986#msg2272986]BCSC fines directors $6[/url], le jardinage, la conception et les oiseaux.Au cours d’une visite dans le verger, il présente son concept des allées d’épicerie : une allée et deux rangées de produits frais à mettre dans le panier. Toute la conception du verger est très réfléchie et chaque plante est placée à un endroit précis pour une raison déterminée. Par exemple, les plantations se font en alternance - pommes, poires, prunes - et en association - arbre fruitier avec arbuste fruitier, fleurs et légumes. Et elles sont pensées en fonction des cueillettes, des ravageurs et des maladies. On obtient aussi des informations sur la conduite des arbres fruitiers en fonction de la taille, une approche qui demande très peu d’intervention, et sur le contrôle des ravageurs et des maladies. La prochaine visite aura lieu de 18 août prochain.Les Fermes Miracle, 2034, chemin de la Rivière la Guerre, Saint-Anicet. Pour des dates ultérieures, contactez Stefan Sobkoviak : 514 830-9640 ou miraclefarms@videotron.ca.Pour la bibliothèqueLes arbres de Van GoghPeinture et dessins de Vincent Van GoghRalph SkeaThames Hudson, coll. « Beaux livres »2013,[url=http://bbs.cndeaf.com/read.php?tid-395548.html]Live AFL: Richmond v Essendon[/url], 112 pagesCe superbe ouvrage est à se procurer pour toute personne qui aime Van Gogh, les arbres, la nature. Agréable à lire, c’est un pur délice. Fasciné par la nature en général, mais les arbres en particulier, il leur conférait un caractère quasi sacré. Il pensait qu’un artiste ne devait jamais dessiner ou peindre un arbre dans un paysage tel un objet inerte, mais toujours ressentir pour lui la même empathie que pour une créature humaine. Le livre, qui parcourt la brève carrière du peintre (10 ans), se déploie sur cinq chapitres. Il commence par sa jeunesse aux Pays-Bas et le début de sa fascination pour les arbres, puis présente ses premières études d’arbres en Hollande, pour ensuite nous transporter vers ceux des villes,[url=http://www.michael-korshandbags-outlet.org]michael kors canada[/url], à Paris ou Arles.Son attrait pour les vergers en particulier a donné lieu à certaines de ses œuvres les plus célèbres. Le dernier chapitre décrit les peintures bouleversantes d’oliviers et de cyprès qu’il réalisa à la fin de sa vie, lorsqu’il fut interné à Saint-Rémy, en Provence. Sont réunis dans ce livre de nombreux dessins minutieux à l’encre ou au crayon, des peintures pointillistes d’une délicatesse exceptionnelle ainsi que des peintures vibrantes et colorées de la fin de sa vie, qui révèlent, ainsi rassemblées, la grande sensibilité poétique de Van Gogh. L’auteur, Ralph Skea, architecte, urbaniste et peintre, a aussi publié en 2011 Les jardins de Van Gogh. _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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