aderfp633
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Posté le: Mar Nov 05, 2013 5:30 pm Sujet du message: moncler outlet re |
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Le Devoir,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler outlet[/url]
Le Mouvement Desjardins se lance officiellement dans l’offre financière globale et intégrée auprès des « grandes fortunes ». Desjardins Gestion de patrimoine voit le jour. Son objectif : accompagner ceux qui sont à l’aise financièrement.Selon les données de l’institution, on compte un million de Québécois ayant 100 000 $ ou plus à investir. On parle,[url=http://www.mindu.org/]moncler down jackets Oregon[/url], ici, de liquidités ou de placements liquides,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler sale[/url], ce qui exclut l’immobilier, le régime de retraite ou encore l’avoir capitalisé au sein d’une entreprise. Desjardins Gestion de patrimoine veut les accompagner selon une approche globale,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler down jackets[/url], rappelant deux des grandes valeurs du Mouvement, à savoir l’éducation financière et la capacité de la personne à se prendre en main financièrement.Dans la présentation d’hier, l’institution fait ressortir les conclusions d’un sondage SOM indiquant que seulement 16 % des répondants ont un plan financier écrit. On retient de ce pourcentage que, « bien que fortement préoccupés par leurs nombreux objectifs financiers, les Québécois n’ont pas le réflexe de prendre en main leurs finances personnelles (par manque de temps, d’intérêt ou de connaissances) ». Et pour ceux qui se sont dotés de ce plan de match ou de cette feuille de route, moins de la moitié le suit totalement et autant que partiellement. Ce qui constitue, par ailleurs, autant de rendez-vous de suivi.Car le potentiel est réel. On le sait mais rappelons-le, conséquences du choc démographique, une vague sans précédent de transferts intergénérationnels d’actif va déferler au cours des dix prochaines années. Héritages mais aussi transferts d’entreprise apparaissent sur le radar. Derrière ce mouvement d’actif se cachent de grandes fortunes, toujours plus nombreuses. Selon des données d’Investor Economics, les Canadiens disposant d’un actif investissable de 1 million de dollars ou plus devraient, au cumul,[url=http://www.moncler-sale.org]moncler on sale[/url], composer un bassin dépassant les 3000 milliards de dollars en 2018, répartis entre 906 000 familles,[url=http://www.ppdaquan.com/zixun/dianshi/751.html]moncler outlet 1[/url], contre 544 000 présentement.Échec de transmissionLe potentiel est là. La population de « riches » est composée à 30 % d’entrepreneurs,[url=http://www.cnshmo.com/bbs/viewthread.php?tid=275481&extra=]moncler sale which they've meanwhile received[/url], à 25 % de cadres supérieurs et également à 25 % de professionnels. Quant aux préoccupations premières, pour le cadre supérieur, la dynamique sera plutôt une planification financière inadéquate, comprenant la planification testamentaire et le volet fiscal associé à un départ à la retraite. Pour le professionnel et l’entrepreneur,[url=http://www.moncler-sale.org]discount moncler jackets[/url], ne disposant généralement pas de régime de pension, la question de la retraite prendra le dessus. Suit la succession. Au-delà de ces données servant à définir les limites de cet univers de personnes fortunées, un vaste sondage mené en 2005, mais dont les conclusions demeurent d’actualité, nous rappelle la difficulté de cette opération de transfert. Ce sondage nous dit que la transmission de la richesse aboutit à un échec dans 70 % des cas. Sept fois sur dix, le transfert engendre querelles, tiraillements, éclatement de la famille et perte d’actif.Valeur dans les entreprisesS’ajoutent à l’équation les données d’une autre étude, présentées l’an passé par Marchés mondiaux CIBC, portant sur autant de milliards de dollars d’actifs commerciaux appelés à changer de mains. L’institution parle de 1900 milliards au cours des cinq prochaines années, de 3700 milliards d’ici 2022. Selon ce rapport, 310 000 propriétaires d’entreprises, soit 30 % des PME au Canada, vont vendre ou transférer le contrôle de leur entreprise d’ici cinq ans, 550 000 d’ici dix ans. La CIBC avait alors évoqué « le plus important renouvellement de contrôle économique de l’histoire ». Or plus de la moitié des propriétaires n’ont aucun plan de transfert ou de relève. Et les trois quarts n’ont pas nommé de successeur. À cette non-préparation s’ajoute le fait que le tiers des propriétaires comptent sur la vente de leur entreprise pour pourvoir à leurs besoins à la retraite.Enfin, faut-il rappeler (la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante l’a fait l’an dernier) que 60 % des PME sont de nature familiale. Les trois quarts sont des entreprises de services, dont l’achalandage ou la clientèle se déclare très souvent plus fidèle au propriétaire qu’à l’entreprise. Quant au taux de survie, deux nouvelles entreprises sur trois meurent à l’intérieur de cinq ans. Dans le cas d’une entreprise familiale, seulement le quart réussit avec succès le passage de la première à la deuxième génération. À peine 10 % survivent à la transition entre la deuxième et la troisième.ConvaincreDonc, beaucoup de boulot en perspective. Et beaucoup d’efforts pour convaincre de la pertinence d’encadrer la marche à suivre au sein d’un plan financier. Revenons au sondage SOM de Desjardins.Les principales raisons pour avoir un plan financier écrit sont :atteindre ses objectifs financiers (27 %) ;pouvoir prendre sa retraite (26 %) ;s’assurer d’une sécurité financière (21 %).Les principales raisons qui expliquent pourquoi un si grand nombre de Québécois n’ont pas de plan financier sont :je ne sais pas (32 %) ;je n’en ai pas besoin (18 %) ;je n’en ai pas les moyens financiers (17 %) ;par négligence, je n’y ai pas pensé (7 %) ;je me crois apte à épargner sans planfinancier (7 %). _________________ People watching the forthcoming beginning of the German half of the inhabitants of Berlin are no interested in co-optation |
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